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Apollonius de Tyane, ce grand Initié aux mystères pythagoriciens, marqua l’époque christique par sa sagesse, ses miracles et son enseignement au point d’être comparé à Jésus.
Jan van Rijckenborgh éclaire le sens profond de ce processus libérateur en douze étapes décrit dans les «douze heures» du Nycthéméron, qui faisait des disciples d’Apollonius de Tyane des âmes éveillées à la Conscience universelle.
« Vous avez peut-être entendu parler de ce mystérieux personnage du passé dont le nom est Apollonius de Tyane. Il est connu comme un philosophe de l’école néo-pythagoricienne, que les adversaires du christianisme non seulement comparèrent à Jésus, mais considérèrent comme supérieur. De même que pour Jésus, sa naissance fut annoncée par le Saint-Esprit.
Il voyagea et enseigna dans presque tous les pays situés autour de la Méditerranée, la mer du monde antique. Le peuple accourait en foule pour l’entendre, et ses disciples étaient innombrables, selon les idées de ce temps. Il fit quantité de miracles, accomplit un grand nombre de guérisons. Dès qu’il apparaissait, les populations en lutte se réconciliaient tant son influence était grande. Evidemment, il fut poursuivi par les autorités religieuses, plus d’une fois emprisonné, et même martyrisé. Quand, enfin, on voulut le faire dévorer par des chiens, il disparut de façon mystérieuse.
Après qu’il eut quitté la scène du monde, on relata l’histoire de sa vie et de ses vicissitudes. Un évangile en huit volumes épais vit le jour, dont le contenu était si grand et si puissant que les fondateurs de la jeune église chrétienne s’en inquiétèrent. Incapables de tenir tête à pareil adversaire, ils employèrent la méthode classique, la méthode cléricale par excellence: meurtre, persécution, destruction.
Il va de soi qu’à l’époque, les écrits sur Apollonius de Tyane étant des manuscrits, les exemplaires étaient peu nombreux, donc faciles à voler, à confisquer ou à détruire. La masse fut rappelée à l’ordre de cruelle façon; on agita devant elle le spectre de la peur, et c’est ainsi que, par cette méthode trop bien connue, fut extirpé du cœur des hommes le souvenir même d’Apollonius de Tyane. »
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Poids | 0.260 kg |
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Dimensions | 0.7 cm |
Nombre de pages | 115 |
ISBN | 978-90-6732-124-2 |
ISBN-10 | 90-6732-124-9 (9067321249) |
Date de parution | 1994 |
Sommaire
LES DOUZE HEURES DU NYCTHEMERON 7
PREMIÈRE HEURE 17
Dans l’unité, les démons chantent les louanges de Dieu ; ils perdent leur malice et leur colère.
DEUXIÈME HEURE 25
Par le binaire, les poissons du Zodiaque chantent les louanges de Dieu, les serpents de feu s’enlacent autour du caducée et la foudre devient harmonieuse.
TROISIÈME HEURE 35
Les serpents du caducée d’Hermès s’entrelacent trois fois, Cerbère ouvre sa triple gueule et le feu chante les louanges de la foudre.
QUATRIÈME HEURE 45
A la quatrième heure, l’âme retourne visiter les tombeaux ; c’est le moment où s’allument les lampes magiques aux quatre coins des cercles ; c’est l’heure des enchantements et des illusions.
CINQUIÈME HEURE 53
La voix des grandes eaux chante le Dieu des sphères célestes.
SIXIÈME HEURE 59
L’esprit se tient immobile; il voit les monstres infernaux marcher contre lui et il est sans crainte.
SEPTIÈME HEURE 73
Un feu donne la vie à tous les êtres animés est dirigé par la volonté des hommes purs. L’initié étend la main et les souffrances s’apaisent.
HUITIÈME HEURE 81
Les étoiles se parlent, l’âme des soleils correspond avec le soupir des fleurs ; des chaînes d’harmonie font correspondre entre eux tous les êtres de la nature.
NEUVIÈME HEURE 89
Le nombre qui ne doit pas être révélé.
DIXIÈME HEURE 107
C’est la clef du cycle astronomique et du mouvement circulaire de la vie des hommes.
ONZIÈME HEURE 115
Les ailes des génies s’agitent avec un bruissement mystérieux ; ils volent d’une sphère à l’autre et portent de monde en monde les messages de Dieu.
DOUZIÈME HEURE 121
Ici s’accomplissent par le feu les œuvres de l’éternelle lumière.
Très jeune, Jan van Rijckenborgh aspire à retrouver la source originelle de toute connaissance et entreprend une recherche méthodique, guidé par les textes hermétiques, les évangiles gnostiques et les manifestes de la Rose-Croix du XVIIe siècle.
Sa certitude de suivre un plan déjà inscrit en lui-même et son don visionnaire exceptionnel lui font rapidement dépasser les formes religieuses et occultes de la recherche ésotérique. Il dénonce l’énorme « mystification de l’au-delà », recherche l’auto-franc-maçonnerie personnelle et dépasse toute forme de détachement mystique ou mentale.
Il pressent la puissance de l’idée gnostique: «Notre recherche nous montre qu’il existe un royaume originel dépassant de loin les domaines du Nirvana eux-mêmes. Nous avons découvert que ceux qui l’avaient atteint avaient tous parcouru le même chemin.»
Dévoilant les lois septuples de l’univers, il entreprend une œuvre fondamentale: décrire et enseigner le chemin parcouru qui relie l’humanité au monde divin originel.