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10 conférences faites à Berlin du 5 novembre 1912 au 1er avril 1913
Le contenu de cet ouvrage est résumé dans la table des matières ci-dessous.
Ouvrage à couverture cartonnée.
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Poids | 0.3 kg |
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Dimensions | 18 × 11 × 1.6 cm |
SOMMAIRE
Première conférence, Berlin 5 novembre 1912
Le besoin de vérité, qui est la base des études anthroposophiques, est ce qui mène à comprendre et à ressentir le monde spirituel. L’année 1899. La nature des vocations intérieures avant et après. De notre calme dépend notre activité dans le monde spirituel. Les expériences douloureuses de l’initiation. La connaissance spirituelle et la compréhension des chefs d’œuvres, fondement de la morale. Édification du karma. De la solitude ou de la compagnie des âmes après la mort.
Deuxième conférence, 19 novembre 1912
L’éveil de la conscience du Moi, chez l’enfant qui se heurte au monde extérieur, chez l’adulte qui se heurte à lui-même. L’action destructrice de la conscience sur les corps. L’action régénératrice venant des astres. Sur terre, nous ne pouvons, par la conscience, réparer que les désordres du Moi. Après la mort, l’essence de l’homme gagne peu à peu toutes les sphères planétaires ; l’initié y vit dès ce bas monde. Les sphères de la Lune, de Mercure et de Vénus. La traversée de la sphère solaire est influencée par l’attitude qu’on a eue sur terre envers le Mystère du Golgotha. Rencontre avec le Christ et Lucifer. Régénération des corps éthériques dans la sphère du Soleil.
Troisième conférence, 3 décembre 1912
L’Anthroposophie, un pont vers les morts. La conscience astrale nous révèle les lois du karma, le monde de ce qui se réalise et de ce qui demeure à l’état de possible. Celui-ci compose autour de nous une aura de forces qui se réunissent mais n’aboutissent à rien sur le plan physique. Si nous en prenons conscience, nous comblons l’abîme entre le monde physique et le monde spirituel. Les habitudes de pensée matérialistes attachent trop étroitement l’âme au corps. Le Moi et le corps astral sont nés de l’espace solaire et n’appartiennent pas à la terre. Ils se libèrent pendant le sommeil. La compréhension de notre nature humaine nous
révèle nos liens avec le monde des étoiles. Le Christ, le grand Être solaire, nous rend le sentiment de ce lien, perdu depuis quatre siècles.
Quatrième conférence, 10 décembre 1912
La veille et le sommeil. Nous recevons des étoiles, après la mort, les forces qui édifient notre prochaine existence. De toute la périphérie du zodiaque, nous contemplons, comme un centre, notre propre être. L’aura d’un homme endormi: la partie inférieure se condense, la partie supérieure s’éclaire; elle aspire les forces des étoiles et en régénère la partie inférieure. Transformations de la vie psychologique au cours des différentes époques. L’anthroposophie permet de retrouver consciemment les états de communion avec l’univers qu’a connus le primitif, et de les transmuer en forces vivantes.
Cinquième conférence, 22 décembre 1912
La mission du Bouddha. La courbe d’évolution dans tous les mondes. Involution de la planète Mars jusqu’aux XV’ et XVI’ siècles. Nicolas de Cuse et Copernic. La science moderne est le résultat des influences décadentes de Mars. La mission de Christian Rose-Croix. La reprise d’évolution sur Mars grâce au sacrifice du Bouddha, qui peut donner aux âmes, entre la mort et une nouvelle naissance, ce qui forme le contre-poids du matérialisme et qui permet l’union avec l’impulsion du Christ.
Sixième conférence, 7 janvier 1913
Le mystère du Saint Graal. L’enseignement de la réincarnation et du karma, ajouté à l’enseignement des Rose-Croix, en raison des rapports de l’homme moderne avec l’univers. Le véritable Moi, que les Esprits de la Forme ont donné à l’homme et qui lui a conféré la ligne verticale, les facultés de marcher, de parler et de penser. La conscience de ce Moi dans l’homme est indispensable à son immortalité. L’action des esprits lucifériens. A l’état de veille, l’homme moderne n’a conscience que de son Moi représentatif. Le véritable Moi renaît après la mort dans les forces qui de l’intérieur ont poussé l’homme à marcher, à construire la langue, à modeler le cerveau.
Septième conférence, 14 janvier 1913
Les phénomènes de la croissance dans l’homme. La croissance se heurte à un autre principe qui l’arrête. L’importance de cette connaissance pour l’éducateur. Comment est apparue peu à peu dans l’évolution ce qu’on appelle l’opinion publique. La distinction faite par Saint Paul entre le premier Adam et l’Adam supérieur, le Christ. La force qui libère l’homme de l’opinion publique. L’instauration du règne du Bouddha dans la sphère de Mars rétablît la balance avec les courants sous-humains de l’opinion publique.
Huitième conférence 11 février 1913
L’homme concentre en lui les plus grands secrets de l’existence. Les règnes naturels sont faits des restes de l’évolution passée. Dans le sommeil conscient, nous contemplons ce qui crée l’homme et le soutient. Les conditions de la vie intérieure naissent des phénomènes de destruction qui se produisent dans l’organisme humain. Tout ce que nous avons contemplé sur terre nous apparaît renversé après la mort. Nous contemplons le monde des devenirs, des secrets divins, le temple du corps, le mystère des nombres. La décadence de la terre et l’appauvrissement de la vie intérieure. L’anthroposophie lutte contre ces phénomènes au moyen d’idées cosmiques.
Neuvième conférence, 10 mars 1913
Le passage, conscient ou non, de l’âme à travers les mondes supérieurs après la mort. La nécessité de s’y préparer pendant l’incarnation terrestre. La vie sur terre et la vie dans l’au-delà s’enchaînent l’une l’autre comme la cause avec l’effet. Dans l’au-delà, les âmes peuvent être au service de forces bienfaisantes ou nuisibles. Les liens personnels que nous avons noués sur terre prolongent leur effet. Quelques cas d’exception.
Dixième conférence, 1er avril 1913
Les degrés de la vie dans le kamaloca et la région du monde de l’âme jusqu’à la sphère solaire. Le pays de l’esprit: les régions de Mars, Jupiter, Saturne. La quatrième région qui est au-delà du système planétaire. Le courant du progrès humain qui vient d’au-delà de Saturne et qui, pour l’évolution, trouve son centre de gravité dans le Mystère du Golgotha. De la mort sur le Golgotha date la naissance de l’âme de la terre.