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Comment est né aux Pays Bas, puis s’est développé à travers le monde le mouvement de la Rose-Croix d’Or au cours du vingtième siècle? Comment assurer la transmission de leur enseignement au-delà de la mort des fondateurs? 400 ans après que la Fama Fraternitatis ait été écrite, elle a pris corps à nouveau en ce siècle.
Appelés par le Cœur du Monde est l’histoire de l’association rosicrucienne – qui plus tard, prendra le nom de Lectorium Rosicrucianum- depuis sa fondation, peu avant la seconde guerre mondiale jusqu’à nos jours.
Peter Huijs nous dévoile l’ampleur de l’oeuvre à la fois spirituelle et littéraire de Jan van Rijckenborgh et Catharose de Petri. Visionnaires et inspirés, ils donnèrent progressivement naissance à un mouvement qu’ils réussirent à relier à la chaîne universelle des Fraternités.
On découvre dans cet ouvrage le contexte de la recherche spirituelle en Occident au cœur du XXe siècle et comment dans ce champ ésotérique si complexe, les fondateurs durent arracher à la matière le chemin menant au pur Esprit.
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Poids | 0.800 kg |
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Dimensions | 3.3 cm |
ISBN | 978-90-6732-392-5 |
Date de parution | 1995 |
Avant propos de l’auteur:
« Il y a la vie et nous la vivons. Il y a le savoir, la science, la religion, l’art, l’existence et la société de consommation, mais…peu de véritable connaissance du cœur.
Chacun vit sa vie, mais il y en a peu qui savent. On ne sait pas si la vie a un but ou pas ; s’il y a un plan ou pas ; si la vie signifie quelque chose ou pas.
Chacun cherche à combler cet abîme du non-savoir avec plus ou moins de conscience, de foi, de dynamisme, d’amour, de relations sociales ou avec rien.
Mais fondamentalement, c’est l’ignorance radicale! Voilà ce que l’on vit!
Psychologie, philosophie, nouvelle science ésotérique: les problèmes vont et viennent, tout ressemble à une expérience sans fin. Tout en vivant, nous sommes en train de mourir. Or, une fois morts, nous renaissons ; et tout recommence. Et cela jusqu’au moment où le champ de bataille se déplace de l’extérieur vers l’intérieur… jusqu’au moment où le savoir se change en étonnement, en questionnement, en un certain cheminement, en conscience d’être… jusqu’au moment où l’énergie vitale en vient à se calmer là où se trouve le repos.
L’homme est le monde, l’homme est le centre, il est l’autel du Très Haut, du grand constructeur qui dirige les mondes. De quel homme s’agit-il? De celui-ci ou de celui-là? Non, de tous les êtres humains. C’est d’eux que dépend le sens de l’existence. Mais, de qui? Untel ou unetelle? Non, de tous les êtres humains, de chacun d’eux. La confusion n’est-elle pas immense, aussi grande que l’homme?
Pourtant, lorsque celui-ci trouve la sérénité, qui est au milieu, la confusion se dissipe, l’ordre originel se déploie, la lucidité et la beauté surgissent ; et combien glorieuses sont la simplicité et la justesse d’une existence devenue l' »être »!
Ceux qui recherchent notre fraternité affirment que celle-ci possède la panacée universelle, le remède qui guérit de toute maladie. Ils affirment que les rose-croix connaissent le plan, la ligne spirituelle du progrès de l’être humain, lequel est un petit monde, un microcosme. Mais chaque époque doit trouver, retrouver le plan, en témoigner et en faire une réalité. Partir à la recherche de l’empreinte d’un tel plan constitue le thème de ce livre. »