Menu
à propos de l’auteur…
Elle hésita quelques temps entre philosophie ou littérature. Mais lauréate de l’Université en philosophie, elle opte finalement pour cette discipline Elle se présente à l’agrégation en 1968. Elle épouse un universitaire en sciences physiques ; et part pour l’Université d’Abidjan où, de 1970 à 1974, elle enseigne la psychanalyse et la phénoménologie. Elle venait de faire paraître un article sur «erreur et illusion» dans la Revue de Métaphysique et Morale et avait commencé une thèse de doctorat sur «le fondement réel de l’illusion» quand son pôle d’intérêt bascula soudain vers la pensée hindoue. Elle lit alors Vivekananda, Aurobindo et Krisnamurti qui l’impressionne fort. Enfin elle découvre, contre toute attente, l’existence du christianisme intérieur, hermétique, parfaitement un avec la Sagesse vivante Universelle. C’est pour elle une révélation! Sur un coup de tête, elle interrompt l’écriture de sa thèse qui lui ouvrait pourtant les portes d’un grade universitaire supérieur, revient en Europe, raccourcit son temps d’enseignement et se consacre à des conférences sur les forces de transmutation cachées dans l’âme humaine. Les sujets et les auteurs auxquels elle s’intéresse sont variés: elle peut par exemple aussi bien parler d’Orphée, de Platon, que de Mozart. Elle présente une série d’exposés sur les mystères de La flûte enchantée ; on y trouve, conciliés, la Théosophie, la Franc maçonnerie, le pur rosicrucianisme, et le christianisme. Elle approfondit des évangiles apocryphes trouvés à Nag Hammadi: l’évangile de Marie, l’évangile de Thomas, l’évangile de Philippe… Elle tombe dans l’émerveillement lors de ce qu’elle appelle «sa rencontre vivante avec Shakespeare». Elle découvre avec enthousiasme et émotion que Shakespeare est un initié aux mystères hermétiques, qu’il enseigne le secret de la vraie vie, la régénération, la transmutation de l’âme, et que comme Mozart, le maçon, il parle lui aussi de «l’humanité transfigurée». Elle nous fait partager cette découverte par son livre: «Shakespeare ou l’âme dévoilée» (Editions du Septénaire) Cet ouvrage offre une double surprise: il nous fait descendre, de façon aisée et claire, dans les profondeurs de l’œuvre de Shakespeare, et nous initie en même temps et agréablement, aux principes hermétiques. Nicole Marchand achève un second ouvrage sur Shakespeare : Les deux visages de la femme chez William Shakespeare et Gustav Meyrink.
Elle est aussi l’auteure d’un grand roman en deux tomes: La double vie d’Elisabeth Desfailles.
Elle a produit un essai : L’incroyable goût du véritable bonheur.
Enfin elle est l’auteure d’un roman de science fiction: Une rose pour un cyborg et des ouvrages co-écrit avec Philippe Woignier. En attente d’être édités.
3 résultats affichésTrié du plus récent au plus ancien